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QUELLE JOURNÉE DE …

  • Madameblog
  • 10 janv. 2017
  • 14 min de lecture

J’adore écrire des titres qui sèment l’ambiguité et la controverse auprès de mes lecteurs, je l’ai fait aussi en 1991-1992 quand j’ai fait mon spectacle annuel avec mon école de danse. Plusieurs se souviendront longtemps de mon titre qui a causé beaucoup d’ambiguité et de controverse. A chaque année nous allions Pierre et moi nous ressourcer où (ah enfin! je suis sur MON PORTABLE et j’ai retrouvé ce fameux accent grave qui était perdu je ne sais où lors de mon dernier blogue) Donc chaque année je cherchais les titres de mes spectacles et c’était pas facile compte tenu du fait que j’inventais une histoire émanant de mon imaginatif cerveau, reliant danse et théâtre, écrire l’histoire était pour moi vraiment très simple, j’incorporais à mes histoires des numéros de danse, du théâtre, du chant, j’étais aussi le metteur en scène, je travaillais avec des jeunes et adultes que je repêchais dans mon école et à l’extérieur pour des petits rôles (pour la majorité des amateurs en herbe)

Alors en 1992 à quelques mois de mon spectacle j’étais sur la plage, les 2 pieds dans le sable blanc et je me creusais la tête pour trouver un titre qui faisait du sens avec l’histoire que j’avais inventé de toute pièce, parfois l’histoire n’avait ni queue ni tête et je me faisais un devoir de rendre ça le plus drôle possible, j’aimais bien caricaturé les événements pour les rendre plus audacieux et plus comique. Mon but était que les gens apprécient le spectacle même s’il ne venait que voir un petit numéro de leur enfant ou bien voir une simple connaissance. Mes show avait toujours une durée d’au moins 2:00 donc fallait que je les garde réveiller…

L’histoire de cette année là était en fait très simple, cela se résumait en deux locataires vivant avec des enfants dans le même immeuble et qui se voit du jour au lendemain sous la demande du propriétaire (mon papa tenait pour la première fois un rôle sur une scène) vivre ensemble, évidemment l’un et l’autre sont complètement déroutés par le genre de vie qu’il mène (Yvan Deladope est un type très gentil mais n’a aucune classe tandis qu’Anna Delapoudre, elle, vit d’une classe sociale beaucoup plus élevé. Yvan vends des cochonneries ramassés ici et là tandis qu’Anna, elle, vit dans le luxe et se pavane en levant le nez sur les gens ordinaires… L’enfer est sur le point d’éclater à chacune de leur rencontre dans l’appartement et ils ont peine à se regarder et à s’endurer. Leur nom de famille agrémente un peu aussi l’histoire mettant un petit piquant sur la nature pimentée des personnages…

Alors , comme je vous disait, j’étais en train de savourer le soleil sur ma peau toujours à la recherche de mon fameux titre quand soudain un flash (et c’était pas le soleil ni celui de ma caméra) m’est apparue très clairement au grand étonnement de mon mari qui de ces yeux exorbités me faisant penser au yeux du hibou qu’on a vu ensemble en Floride en 2015 avec ma soeur Maryse mais ça c’est une autre histoire… de ces yeux exorbités qui semblait me dire NON! pas ce titre chérie, tu t’attires des bosses… et bien comme à mon habitude en bonne épouse, j’ai pas écouté et j’ai fait mettre sur mes billets de spectacle le titre en gros caractères.

OUPS! LOL Désolé j’essai de plus mettre de bonhomme sourire ou d’utiliser les LOL MDR etc… J’ai lu un article qui disait que l’utilisation de ces petits bonhommes empêchait le lecteur de vivre ses propres émotions et que cela ne faisait pas professionnel. COME ON! on est pas en 2017? Franchement je comprends que trop de petits bonhommes puissent être agaçant à la fin mais tout de même j’ai peine à croire que je pourrais contrôler vos fous rires, votre peine, ou encore, que si en me lisant vous ayez le goût de rire pendant que je vous flaque un petit bonhomme en peine cela affecte vos émotions du moment et que votre vie s’en trouve subitement affectée! En tout cas, vous êtes chanceux car sur mon ordinateur MAC impossible de trouver ces petits BS (abréviation de bonhomme sourire…) ah! mais cela aussi c’est pas bien… les abréviations… C’est juste n’importe quoi!

Ouf! Maintenant que vous avez eu quelques minutes pour ne plus penser à rien dites moi sincèrement à quoi vous avez pensé en voyant mon titre? Quel mot vous est venu en premier en tête?

Je l’ai dans … le voisin!

En fait la belle Anna à la fin du show, elle l’avait dans la peau le voisin mais en vrai le titre voulait simplement dire: Je l’ai dans mon appartement le voisin. LOL

Je dois vous dire qu’à l’achat des billets, les gens avait aucune idée de ce que les … représentait. Je dois avouer que les réactions des parents ont été partagés…

Ah ah ah Johanne tu nous as bien eu! Voilà le commentaire des parents qui me connaissait depuis belle lurette et me savait cocasse et imaginative comme pas deux… Tandis que d’autres (surtout les parents de mes petites danseuses de ballet, c’était ma première année où j’avais engager un « vrai » prof de ballet classique, eux ont été outré du titre car disait-il les enfants de moins de 7 ans aurait pu être traumatisé et que le sujet abordé (la drogue sous une forme tellement ridicule) n’avait pas sa place. OUF! Pierre m’a regardé prendre les commentaires des parents en se demandant comment j’allais réagir… Faut dire qu’à la fin d’un spectacle tu es remplie d’adrénaline… et quand tout tes efforts sont récompensés à la fin d’un show par une ovation debout tu réagis de la bonne façon… donc la pilule a bien passé, je l’ai pris avec un grain de sel et d’humour en me disant, Johanne tu peux pas faire le bonheur de tout le monde, mais de tout ceux à qui tu as fais plaisir et qu’ils ont pendant 2:00 décroché de leurs tracas et qu’ils ont adoré ton show et le travail de tous tes danseurs, et bien juste pour eux ça vaut la peine de continuer à te creuser les méninges et de trouver encore quelques bons coups à leur asséner sur la tête :) Comme me disait ma mère et mon père, si tu vaux pas une risée tu vaux pas grand chose… et j’ai continué au cours des autres années à effleurer de façon drôle et ridicule d’autres sujets qui ont encore fait ma marque de commerce dans ma belle ville de Laval!

Maintenant que je vous ai raconté tout cela il est temps de vous mettre sur la piste de mon titre d’aujourd’hui.

Tout d’abord laissez moi vous raconter ce que j’ai fais hier après avoir fait visiter ma superbe propriété à un jeune couple, eh oui une 2e visite d’acheteurs potentiels en 2 jours, UN RECORD. Nous sommes persuadés que notre magnifique maison prendra preneur dans pas long et que je mettrai mes fesses quelque part au Québec.

Mais en attendant que ça arrive j’ai eu la bonne idée d’aller faire un tour en skidoo avec nos amis Rodney et Nadine qui viennent d’acquérir leur bombe à neige. Vraiment une superbe de bonne idée que j’ai eu là. Le soleil étant au rendez-vous avec un -15 en journée finissant sur un -20 avec le facteur vent en fin de journée c’était PARFAIT. Parfaitement ridicule de croire que cette magnifique journée tournerait au cauchemar!

Tout commence par une tentative de « je vais enfiler mon costume de danse », euh, je me suis trompée de show, je veux dire mon habit anti-balle, tu sais le costume dans lequel tu es prête à recevoir des balles de terroristes tellement tu te sens protégée, impossible qu’une balle de neige ou autre puisse traverser cet habit… inconfortable à souhait… le genre d’habit de neige du parfait skidooman! Le suit est tellement épais et lourd que t’as l’impression que rien peut l’atteindre! Le suit dans lequel tu te penses gros et que tu es gros comme le bonhomme Michelin! ou en Micheline :) tellement inconfortable… tu marches comme si tu avais fais du cheval pendant des heures… et quand tu enfiles les bottes, ben là, comme disais ma mère, là c’est bout d’la marde… Crissss de criss tu veux juste aller te dépêcher de mettre tes fesses su’l criss de skidoo pour que personne te voie « amanché » comme ça…

et mesdames qui connaissez avoir des chaleurs ben là « watch out » parce que là dedans c’est carrément le four à bois… quand t’es dans maison en train de te battre avec ton suit de père Noël et que t’essaye d’attacher ton criss de casque à …. Esti qui FAIT CHAUD EN TI-PÈPÈRE, j’te passe un papier… je sentais la pisse me couler dans le dos et je vous jure que J’AI PAS DE CHALEURS MOÉ… pis le pire dans tout ça c’est que la criss de « ride » est même pas commencé… pour l’amour dans quoi je me suis mis les pieds…

OK, OK, on se calme la belle Johanne, après tout on s’en va juste faire une p’tite ride avec nos amis pour une belle p’tite randonnée de skidoo… Les nerfs pompons…y a pas de quoi grimper d’ins murs… Bon, on finit par mettre le cap au large et sortir de la cour pour rejoindre nos amis au viaduc et on prend le large pour St-Quentin. D’après le GPS de Pierre on a environ 75 km à faire.

Tout va bien jusqu’au premier croche, expression Grand-Sault (premier virage à gauche) et cela à peine à 100 pieds du départ… un haut le coeur me pogne… je me sens attirée vers le côté comme si j’allais « méffoirer » sur le beau tapis blanc avec 7 côtes de boeuf fracassés et une clavicule fêlé comme lors de ma dernière sortie en 4 roues en aout 2015…

HOP LÀ ! Fiou! j’ai pas tombé, juste un peu paniquée… pas de panique Johanne, parle toi un peu la vieille, arrête de te faire des scénarios grandeur nature, fais confiance au chauffeur, que je me dis tout bas en récitant 3 ou 4 chapelets en ligne… ouf! le chemin est droit pas de panique tout est bon… j’ai confiance en mon seigneur Pierre, AMEN…

et voilà évidemment l’inévitable qui arrive, un autre croche, et un autre croche, et une ligne droite et mon seigneur Pierre reprenant le contrôle de la situation, redressant d’une main de maître le volant de sa ferrari et remettant notre machine d’enfer sur le droit chemin et moi priant de plus belle pour que je reste en vie et en un morceau… LOL je vous jure c’est à ce moment là entre le Notre Père et le Je vous salue Marie que j’ai fait le signal de détresse à mon seigneur Pierre qui consiste à lui asséner 2 grands coups sur l’épaule afin qu’il s’arrête sur le bord du chemin… ma peur voulait juste lui crier: RAMENE MOI A LA MAISON « RIGHT NOW » tandis que les sons qui ont sortis de ma bouche ont été : Chéri, peux-tu ralentir dans les croches parce que sinon JE FAIS LE RESTE À PIED!!!!

lol pauvre lui il m’a regardé et des ces yeux genre HIBOU des années 1991 il est resté hébété en croyant que je lui faisait une joke de mon cru…. NON NON NON je suis sérieuse, j’ai peur, atrocement peur de tomber sur le coté comme en 2015… je me vois étalé sur le côté ne pouvant à peine respirer et Dieu sait que je ne veux plus vivre une expérience de ce genre… OK me dit-il conciliant… je vais ralentir dans les croches et si ça ne va pas mieux on retourne à la maison… OUF! C’est une des milles raisons qui fait que j’aime tant cet homme depuis 39 ans… Jamais au grand jamais il ne ferait quelque chose en toute connaissance de cause qui puisse me rendre malheureuse…

Alors nous avons continuez notre chemin sans renverser et avec plus de confiance et de plaisir mais tout de même avec un petit Bémol. Je me suis pas plaint, j’ai fermé ma gueule, mais je me suis fais la promesse de ne pas faire de randonnée de plus de 180 km dans une journée avec arrêt obligatoire pour un repas d’une durée d’au moins une heure avec petit verre de vin afin de calmer mes peurs. :)

C’est ce que nous avons fait à notre restaurant préféré à St-Quentin en dégustant une délicieuse lasagne avec salade césar et vin rouge…

Nous sommes repartis le ventre plein et la tête un peu plus légère même si avec mon casque d’astronaute j’avais l’impression d’avoir le poids du ciel sur la tête et que malgré l’envie démentiel de vouloir admiré le beau paysage des arbres enneigés que nous offrait mère nature sur le chemin il fut difficile d’y regarder tant qu’il m’est impossible de pouvoir tourner cette satané tête qui semblait souder à mes épaules. D’après Pierre c’est que je suis trop coincé je dois prendre le temps de respirer et de relaxer ces épaules qui sont littéralement passé par dessus mes oreilles, ce qui m’empêcherait selon sa thèse à ce que mon cou puisse tourner de gauche à droite normalement. Malheureusement pas eu le temps d’expérimenter cette thèse durant ce voyage, alors ma tête prise dans un étau n’a pas pu admirer les paysages et c’est avec mon corps vascillant tantôt vers la droite, tantôt vers la gauche que j’ai pu regarder la belle route tout en prenant le « in » des quelques petits « jump » offerts par le sentier de neige… Moins dur sur les fesses quand tu peux prévoir le coup d’avance… toujours plus intéressant de faire des coucous à droite et à gauche afin de tenter de voir un peu ce qui se passe devant car faut se l’avouer j’aime bien mon seigneur Pierre mais de lui regarder le dos durant des heures devient un peu lassant à la fin… alors en me penchant en alternance tel des « whipers » d’automobile je réussis à avoir une belle vue d’ensemble du décor féérique de dame nature … Alors non Nadine et Rodney je ne dansais pas sur le banc derrière Pierre je ne fais que tenter de rendre la balade plus intéressante… :) Par chance nous avons arrêter 2x sur le chemin, une fois pour prendre des photos :) et la deuxième fois pour voir un orignal et son petit traverser avec fiers allure notre route. Beau moment…

Et puis ce soir au souper Pierre m’a demandé comment j’avais trouvé la « ride » et si je me sentais d’attaque pour entamer une fin de semaine de skidoo intensive… un genre de 280 km à se taper chaque jour, avec un délicieux arrêt pour manger et dormir, et repartir de plus belle le lendemain… ES-TU TOMBÉ ÇA TÊTE? Oublie le projet pour moi mon ami! LOL pour moi 180 KM par jour c’est mon GROS MAX!

Y a beaucoup trop de contre que de pour dans tout ça et je suis sérieuse quand j’affirme avec certitude de ne pas AIMER l’hiver parce que je ne fais pas d’activité extérieure, mais je ne me souvenais plus pourquoi cet haine du froid!!! jusqu’à hier…

C’est tellement agréable « à la péjoratif » de se sentir comme un bonhomme Michelin (ou Micheline) pris dans ton étau, de plus qu’en t’as la morve aux nez dans ta cagoule et que tu sens ça dégouliné jusqu’à tes lèvres que tu tentes de repousser en poussant fort avec ton souffle qui met plein de brume dans tes lunettes et qui te font pleurer des yeux, ces mêmes yeux que t’as pris la peine de maquiller le matin d’un beau mascara et d’un crayon vert et qui dégouline de partout à ressembler jusqu’à un raton laveur… et pire quand t’as pas mis ta bonne cagoule et que tu te retrouves avec celle de ton mari qui est trop grande et que celle-ci n’arrête pas de se déplacer dans ta face, à un moment donné j’avais le nez de ma cagoule totalement « off set » cela m’écrasait une narine… essaye juste de replacer ça avec tes gants de boxe… BON CHANCE! Il y a aussi cet inconvénient qui est le grattage maladif, ça c’est quand ça te gratte quelque part (et là je vous entend dire ça peut pas te gratter Johanne, ça te pique et tu te grattes… NON NON et NON comme j’ai expliqué souvent à Pierre, parfois c’est vrai que ça pique mais CRISS quand ça fais plus que piquer CIBOLE ça finit que ça GRATTE EN SVP… donc quand ça te gratte au point que ça pique plus et que dans ton « armure » comme dans le temps des chevaliers il te sois impossible de te rassasier, je te jure que tu trouves le temps long, longtemps…

Sans compter les doigts qui te gèlent malgré les super bonnes mitaines que ton vendeur t’a conseillé avec assurance qu’elle te garderait au chaud jusqu’à du -30 degrés… et qui t’ont couté la peau des fesses et une bonne engelure aux moignons… Ok j’avoue que là j’ai poussé la « luck » un peu en enlevant mes mitaines pour prendre des petites photos, à peine quelques secondes et le mal était fait. Maudit gant de boxe… y a pas quelqu’un qui peut inventer des gants hyperthermique un bon mot pour votre jeu de scrabble, ces gants pourraient être chauds et surtout pourrait être mince ce qui nous permettrait de prendre des selfies et photos à volonté lors de nos randonnées.

Et puis tellement agréable de te sentir « squeezé » dans ton casque, quelles ne fut pas ma surprise de voir 2 nouvelles rides faire leur apparition sur mes bajoues lors de mon arrivée à la maison après avoir enlevé mon casque protecteur… sans compter les milles et un pou que tu sembles avoir dans ton cuir chevelu, j’en ai pas épais d’abord… et qui te GRATTOUILLE sans arrêt tout au long du voyage…

Triste réalité aussi de constater que malgré ton costume de neige tout terrain, tu files que plus la journée avance plus t’as frette et que ton homme avec ces bonnes idées t’encourage lors d’un de nos petits arrêts de prendre une petite course en avant, histoire de te réchauffer et qu’il te ramassera sur le chemin, c’est ce que je fis mais au bout de quelques foulées je me suis retournée et je lui ai lancé: Et si je rencontre un orignal? pas de réponse… je continue encore une foulée et me retourne vers eux… et si je rencontre un ours? pas de réponse… je continue encore une foulée en me disant, ils sont fous ou quoi? ils vont me laisser à l’abattoir! Dernière tentative… et si je rencontre un lapin? Ah! dis mon seigneur Pierre, c’est trop dangereux reviens vite ici… :) LOL je l’ai échappé belle!

Faut pas oublier aussi que mon côté gauche et le frette ne font pas encore bon ménage, malgré que ça quand même bien été je sentais toujours plus de froid d’un côté tandis que l’autre semblait s’en foutre comme dans l’an quarante. Tant qu’à mes douleurs elle se sont bien comportés faut dire que je les avais battu avant mon départ… question de me faire respecter… :) mais il y a quand même ma vessie et moi qui lors des longs transports avec petits soubresauts ne s’entendent pas sur le « retiens bien ton liquide » donc dès que je me lève, une envie subite me pogne et c’est pas évident de faire ton petit dépôt dans la nature à -20 degrés… tu peux être sûr que tu remontes vite te mettre le « bumper » sur ta machine afin de rectifier le tir, mais bon je travaille encore à la rendre plus docile et plus conciliante, pour l’instant c’est mieux que c’était, il y a donc de l’espoir que je continue à améliorer ce petit côté noir de la mal-à-dit…

Toujours est-il que le frette et moi on fait pas bon ménage et que je préfère mes 30 à 35 degrés de chaleur du sud au -5 et -35 degrés de frette du Canada. Je dois vous dire que j’ai eu une pensée pour les esquimaux qui vivent dans un pays frigorifique à l’année longue, pas étonnant que leur visage soit si rouge et si plissé, mais quand tu y penses c’est sensiblement le même scénario pour nous qui vivons des températures extrêmes dans le sud nous « évachant » sous les chauds rayons du soleil devenant de plus en plus rouge et plissé… J’aime quand même mieux cette perspective, vaut mieux être tannés de rouge par le chaud soleil que frigorifié par le frette soleil d’hiver. J’aime mieux que les 2 narines me collent ensemble parce que j’ai extrêmement chaud plutôt que du contraire… A chacun sa saison préféré…

Au moins prix de consolation il m’est rien arrivé de grave et je remercie Rodney et Nadine qui se sont permis de se renverser sur le côté à ma place vers la fin du voyage… j’ai trouvé ça comique car il roulait à peine 2 km à l’heure et je me suis revue lors de notre première sortie de skidoo en 2013 quand à peine avoir franchi notre premier virage nous nous sommes retrouvés sur le côté tombant au ralenti. LOL

Le voyage s’est terminé en beauté… avec une prise de vue d’un magnifique coucher du soleil et un dodo qui fut très bien apprécié…

Une belle randonnée après 2 ans d’absentéisme… on recommencera Nadine… cette fois-ci j’apporte mon grattoir, des mitaines chauffantes, ma bonne cagoule, un fusil (pour tuer les bêtes si vous me laisser courir sur le bord du chemin) mon mascara et crayon anti-bavure, un perchoir pour voir au dessus de Pierre afin de m’éviter de faire le mouvement des «wipers ».

Quelle journée de… à vous de décider la suite… :) Amusez-vous bien!

Miel-led

Madameblog


 
 
 

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