Un arrêt qui s’explique…

dimanche 28 juin 2015

un arrêt qui s’explique… je sais que nous sommes le 15 juillet mais je ne pouvais publier cet article que j’ai écris le dimanche 28 juin, il m’était impossible de vous le faire lire avant ce soir et voici pourquoi:

Ouf! À glacer le sang m’a laissé avec un sentiment que le monde va tout droit vers l’autodestruction 😦 je n’écoute pas les nouvelles car j’ai un cerveau qui emmagasine trop facilement les informations pour ensuite me les faire revivre en rêves la nuit. Bien sûr ma créativité s’amuse à me mettre la “protagoniste” tout en s’amusant à doubler voir tripler les informations pour en faire une toute nouvelle histoire sans queue ni tête!

Alors je me contente de me laisser instruire par mon mari qui me donne les nouvelles à la petite cuillère car imaginez que c’est lui l’heureux élu qui dort à côté de la “protagoniste” qui vit ses rêves en les terminant quelquefois avec des cris de mort ou en se levant carrément du lit en éveillant mon pauvre homme qui à son tour se rendors d’un sommeil agité LOL quel beau p’tit couple on fait!

Bon alors je tenais à vous dire que ma nuit a été parsemé de “spasmes” mais heureusement pas assez pour me tenir éveillé toute la nuit, ce qui m’a permis de rêver 😉

Rêver peut parfois être synonyme de grands bonheurs, comme celui qui a hanté mes deux nuits passés. Quand tu rêves que la maladie a quitté ton corps et que tu es comme à l’époque lointaine que mon cerveau tente de garder intacte, et là je parle d’un an à peine… comme je disais à mon homme, je n’ai même plus le souvenir de ce qu’est de marcher librement, sans contrainte de lourdeur et d’engourdissements qui freine ton élan d’avancer en toute liberté. J’ai peine à me souvenir de vivre une journée sans que mes spasmes viennent assombrir mes heures de liberté le soir en écoutant la télévision. J’ai aussi beaucoup de difficulté à me souvenir que je pouvais lever mes jambes plus haut que ma tête alors que maintenant j’ai peine à la lever pour faire un droit équerre. Je me souviens plus aussi ce qu’est d’être capable de me retenir assez longtemps avant que JE décide quand j’irais évacuer mon numéro 1 alors que pour l’instant je dois tout contrôler à la minute près afin de ne pas me faire prendre non pas les culottes à terre mais plutôt la culotte mouillée. Et puis comment c’est déjà pour se coucher de tous les côtés en oubliant pas la position sur le ventre sans ressentir des engourdissement dans les cuisses d’une épaisseur d’un bloc de glace. Je me souviens plus aussi comment c’était facile de prendre une douche sans me brûler tout le côté droit au contact de l’eau froide. Et puis la piscine… tellement invitante et cruelle à la fois… je dois toujours soupeser ma décision pour entrer dans l’eau à savoir si après m’avoir brûler par son eau froide sera t-elle assez clémente pour me permettre de m’amuser un peu… et la dernière chose est comment je faisais pour faire des journées remplies de 12 heures, faire le travail ménager, et encore avoir de l’énergie pour finir ma soirée avec mon homme? alors que POUR L’INSTANT et que je commence en avoir ma claque de ce mot, avec mes satanés pilule j’ai peine à rester éveillé plus de deux heures d’affilée et après tout ces arrêts obligatoires me sentir encore épuisé et sans énergie…

Bon assez de lamentations, je sais que vous me lisez toujours ponctuellement et que vous êtes vraiment inquiets pour moi, ce soir n’est pas un bon soir, j’ai abusé depuis 2 jours des bonnes choses… trop de travail pour mon petit corps qui se bat pour guérir… Je vous entends déjà penser « Mais Johanne! voyons donc pense à ta guérison » C’est vrai qu’il y a des journées ou je ne pense qu’à guérir et je prends tout le temps nécessaire qui ressemble à :

1 sortir du lit

2 repas… sans oublier de prendre la 1er pilule qui ferme l’estomac des mauvais sort que pourrait lancer ses adversaires au cours de la journée

3 pilule

4 travail de bureau à la maison (1:30)

5 les pilules font leur effet, l’endormitoire te cogne ou si tu aimes mieux, « ça fesse dans le dash » si bien que je vais m’allonger pour une durée 1:30

6 réveil

7 repas… faut bien nourrir ces pilules….

8 travail de bureau à la maison (1:00)

9 pilule

10 les « esttiii » pilules font leur effet, l’endormitoire te cogne ou si tu aimes mieux, « ça fesse dans le dash » si bien que je vais m’allonger pour une durée 1:30

11 réveil

12 on mange encore… on baille à s’en fendre la mâchoire… et on essai d’être cohérente avec les gens autour de la table car je vous jure que les pilules ont un effet soutenu sur mon élocution qui bredouille parfois des mots incompréhensibles que mon cerveau tente vainement de remettre dans le bon ordre…

13 Encore une petite pilule avant le coucher Madame? Estiii de mardeeeee tu peux t’les fourrer dans le cul tes pilules mais non, je peux même pas leur dire cela parce que quand j’oublie de respecter mon alarme sur mon cellulaire et de prendre la pilule qui fait tout, je me rends vite compte de ses nombreux soulagements temporaires

14 et puis c’est enfin le néant la paix pour un dodo réparateur pour si Dieu est clément une coupelle d’heures de bonheur sans douleur.

et le lendemain la rengaine reprends de plus belle …

15 juillet 2015

Bon vous remarquerez qu’il s’est passé beaucoup de jours entre les deux écrits que vous lisez présentement. Vous comprendrez que le 28 juin fut pour moi une journée passablement difficile, c’est pourquoi je n’ai pas eu le courage de vous la publier immédiatement. Vous êtes tous trop importants pour moi pour vous avoir laissé sur une note si peu joyeuse, voir même dépressive…

La bonne nouvelle est que depuis mon état d’esprit, mon moral, les douleurs sont beaucoup améliorés, même si les douleurs sont encore présentes en étant au beau fixe, j’arrive pareil à apprécier de plus en plus la vie dans ses petits détails et ses toutes petites joies…

Comme vous avez pu le voir pour certains d’entre vous qui me suivez encore sur miel-led, ma condition physique continue de prendre son envol. Petit à petit on remarque encore des changements positifs et ma jambe droite ne cesse de revendiquer tous ces droits légitimes 🙂

Si tout va comme prévu je commencerai lundi prochain ma réadaptation à la course, celle-ci commencera par effectuer de petits sauts 🙂 chose absolument nécessaire pour une danseuse 🙂 tellement hâte de commencer mon nouveau programme !

Je vais continuer quand même mon tapis roulant qui a commencé à atteindre le 3.0 de vitesse tant rêver et ça depuis le jour où j’ai vu ma soeur Maryse en Floride s’entrainer en faisant ses petits sauts de biche sur le tapis roulant 🙂 c’est à suivre…

Il faut vous avouer que malgré la fatigue causé par les médicaments je réalise que je commence tranquillement à prendre un peu de force, l’eau de la piscine se tient au dessus de 85 degrés ce qui aide mon coté gauche à ne pas tomber en brûlure extrême nécessitant la venue du 911 en urgence 🙂 lol

A part ça je suis heureuse de voir mes amis et familles cogner à ma porte durant ces beaux jours d’été. Toujours plaisant de voir ceux qu’on aime et de partager un bon moment avec eux. 🙂

Pour faire un survol de ces dernières trois semaines je les résumerais de cette façon:

Festival de la patate « check »

Très bel événement qui m’a permis d’aller voir en plein air un groupe cubain et d’entendre à défaut de danser librement dans les rues de Grand-Sault un groupe entrainant qui nous ont laissé un goût d’été dans la bouche… Un dimanche midi ensoleillé (du mauvais temps était prévu) pour regarder la parade de la patate qui clôture le festival. Nos employés et gérants ont fièrement participer à cet événement qui a rapporté un très beau succès cette année. Nous étions très fiers de participer avec notre petit « trailer » mobile habillé des plus beaux habits du McDo. 🙂

Feux d’artifice « check »

Olé… c’est certain que la ville n’a pas les budgets de Montréal ou Québec, qu’on a aucun arrangement musical et que le spectacle ne dure que 15 minutes mais « mautadine » que je ne me tanne jamais de regarder scintiller ces pétards. Chaque son engendre à lui même une mélodie… chaque pétard déploie ses feux de couleurs en une unique prestation. Nul ne peut la copier… ce qui en fait un ravissement pour les yeux et les oreilles, et que dire de la finale où sons et lumières montant dans un crescendo fait vibrer la terre sous nos pieds en mettant tous nos sens en éveil. 🙂

Visite de Serge et Gisèle

Visite de Jean-Yves et Lynne ainsi que de leurs amis

Ouf! par chance j’ai eu le temps de retrouver mes esprits et mes forces parce que quelques jours plus tard arrivaient mes deux beaux frères, leurs épouses et des amis de l’un deux. 2 belles journées pour se gaver d’amour et d’amitié… et une visite de la maison sur roues (wanabago) de mon beau-frère, un vrai petit bijou (pour pas dire un joyau) en effet il tire un 45 pieds de maison sur roues ! incroyable c’est comme si on se mettait à penser… « tiens donc à matin ça me tente de partir avec ma maison sur le chemin pour mes vacances! » je vous jure c’est pas gros, ben non, c’est juste gigantesque 😉 Oh my god! je les envie pour la beauté de leur nouveau joujou… dommage que pour l’instant nos vies sont trop occupés à « jonglé et travaillé notre 40 semaines » en attendant le bon moment j’ai profité de leur visite pour leur faire découvrir (mon beau frère et ses amis) les chute de Grand-Sault qui ne coulent pas l’été car NB power doit emmagasiner de l’eau pour suffire à la demande de courant pour les régions plus éloignés… Méchant « saut » qu’on a eu quand on a appris en 2009 que nos chutes qu’on vantait tant à notre visite était fermé tout l’été !!! « Olé » qu’est-ce qu’on va bien pouvoir leur montrer???? et bien on a trouvé… on a acheté 2 VTT, un skidoo, une maison avec une piscine, et une vue panoramique à couper le souffle lol, c’est d’ailleurs ce que j’ai fais visiter à mes trois visiteurs qui en plus de la vue magnifique de la côte au New Denmark ont eu le plaisir de voir juste sous leurs yeux un chevreuil et quelques court instants plus tard un magnifique petit bébé ours… Quoi demandez de plus? Ah oui bien sûr des chutes qui coulent LOL

Journée en canot

Le lendemain du départ de nos visiteurs nous sommes allés en canot à Riley Brook. J’adore cette magnifique rivière calme avec ses 12 pouces à 4 pieds d’eau et un tout petit courant juste assez fort pour nous laisser bercer le long de la rive en nous rappelant comment belle est la nature et comment beau est le silence… bien sûr il y a toujours ces éberlués qui musique au fond gaspille cette plénitude du moment… par chance ce n’est pas trop long qu’il comprenne au regard désapprobateur des gens que la quiétude est de mise tout au long du voyage… 🙂 une belle journée agrémentée d’un bon petit snack sur le mini BBQ que Pierre en masterchef s’est fait un plaisir de nous cuisiner de bonnes saucisses et patates à la perfection! miam… miam…

Piscine Piscine Piscine

Sans oublier des baignades à tous les matins et soirs en prenant plaisir de pouvoir nager de nouveau en bénéficiant de l’effet de la pesanteur pour moins ressentir les douleurs… en parlant de douleurs et d’exercices j’attends toujours avec impatience mon entrée en physio au centre de réadaptation de Fredericton… ça me fait penser que je dois lâcher un 3e coup de téléphone demain pour avoir des nouvelles… 🙂

VTT

Toujours plaisant de faire une petite tournée en VTT pour apprécier les paysages des terres à patates, le blé, et plante d’huile à Canola, le panorama en vaut le détour et mes yeux sont toujours en admiration devant ces magnifiques champs à perte de vue. A chaque semaine nous avons la chance d’admirer ces paysages jusqu’au jour où le temps des récoltes arrivera pour remettre la terre à son état naturel mais jusqu’à ce moment nous pourrons voir toutes les couleurs des fleurs de la plante à patate allant du blanc au rose passant par le violet, la magnifique couleur du blé et les petites fleurs jaunes de la plante de canolo prendre vie sous nos yeux. MAGIQUE… et MAJESTUEUSE NATURE…

Comme vous voyez ma vie est de mieux en mieux même si quelquefois je craque sous la pression… je m’émerveille toujours de mes progrès et me « galoche » une grande claque dans le dos pour m’encourager à persévérer et à regarder droit devant en mettant mes oeillères pour ne pas voir derrière… et bien en parlant d’oeillères ça me rappelle des anecdotes parfois amusantes parfois plus traumatisantes tel que: un jour Kimly décide de prendre des cours d’équitation, vu que je n’aime pas vraiment les chevaux Pierre décide de l’accompagner et pendant toute une session se rend avec Kimly à ses leçons en faisant aussi quelquefois une heure de cheval avec Kimly. Un bon dimanche Pierre me demande de les accompagner, j’y vais un peu de reculons car autant j’aime l’animal pour sa majestueuse présence et beauté autant il me fait peur du haut de ses hautes pattes. Si j’aurais des jambes aussi longues et élancées il est certain que j’arriverais à me sentir à son niveau mais sous mes 5 pi moins quelques poussières ils me paraissent tous comme le géant vert… Arrivés sur place j’ai droit à la leçon de 30 min pour m’expliquer comment la bride doit être manié correctement afin que le « majestueux cheval » y réponde sans faire trop de « chichi » Alors nous partons le guide devant suivi de 2 ou 3 autres téméraires débutant, suivi de Kimly qui avec grâce manie son cheval suivi de moi et de mon « majestueux cheval » et pour clore la marche mon homme qui me souffle gentiment des mots d’encouragements genre: « Jo relaxe un peu la bride elle semble être sur une corde raide… t’es capable chérie faut juste que tu cesses de serrer les flancs de ton cheval… bravo mon amour, tu t’en sors bien et fais toi en pas ton cheval est dans les broussailles seulement parce qu’il a une petite fringale… « estii… ils l’ont pas gavé à matin?? fallais-tu que j’lui apporte des pommes pis des carottes… et là devinez quoi, Pierre m’a dépassé et tout au long j’ai dû me battre avec mon « satané » cheval pour qu’il lâche les broussailles et suivent le groupe à une distance d’au moins 5 chevaux…. pour moi c’était comme si tout le monde était sur l’autoroute et que moi en parasite je filais sur la voie de service avec en prime un flic au cul… LOL méchante expérience.

vous en voulez une autre? Je vais pour une 2e fois risquer ma vie sur un étalon « attention mesdames je parle du cheval ici » j’apporte cette fois-ci ma pomme, ma carotte et une carte routière au cas où je me perdrais quelque part… 🙂 et on repart de plus belle mais étant donné ma peur et ma mauvaise expérience la guide me place tout droit devant et Pierre fidèle à son habitude est relayé à la fin du cortège. La guide me souffle elle aussi comme Pierre ses mots d’encouragements qui ressemblent étrangement à ceux entendus lors de ma dernière expédition… donc je dois pas m’améliorer beaucoup… lol le départ a été lancé et mon cheval marche au petit trot et semble conciliant à rester dans le droit chemin et je finis tranquillement à apprécier un peu la randonnée, la guide au moment où je commence à peine à desserrer mes cuisses des flancs de mon étalon décide de m’abandonner pour aller discuter avec un autre membre du groupe, elle me laisse là en me disant tout juste un « pas de danger Johanne le cheval connait le chemin tout seul et puis je suis juste derrière pour quelques minutes » Euh… NONNNNNN mon cerveau a CRIER ce NON mais ma gorge n’a sorti aucun son… et là je pense que j’ai peut-être serré trop les flancs de mon étalon qui s’est mis joyeusement à galoper au petit trot… et moi je me voyais aller à 100 miles à l’heure et je me suis mise à penser « crisses de criss je vais pogner un ticket!!! » Ben non c’est pas ça que j’ai pensé du tout je me suis mise à paniquer et plus je paniquais plus le cheval semblait apprécié mes petits coups de désespoir que je lui lançait comme message et plus il galopait… jusqu’au moment où j’ai vu ma fille venir à ma rescousse en me disant d’un ton rassurant quoi faire pour que mon « étalon » ralentisse le pas… J’ai quand même finie bonne première avec un bon mètre d’avance sur la lignée derrière LOL et moi qui me croyait à plusieurs pâtés de maison d’avance! lol le cerveau peut parfois nous jouer de vilains tours 😉

Une petite dernière? même si vous voulez pas vous serez tenté d’apprendre mon expérience un peu bizarre survenu en vacances dans le sud. Comme j’ai vécu 2 épisodes traumatisantes et que les chevaux ont pour moi une signification qui frisent plus le « DANGER JE GALOPE » que « ME MONTER EST SYNONYME DE PLAISIR » vous ne serez pas étonné que qu’à chaque voyage Pierre a toujours la brillante idée de faire une excursion et que comme par hasard cela inclus une petite montée à cheval. Vu que les chevaux dans le sud sont vraiment moins « fier étalon » par manque de soin et de nourriture, Pierre me rassure qu’il n’y a pas de danger et qu’il restera à mes cotés tout au long de la randonnée. Je suis quand même craintive mais pour me rassurer je remarque que chaque cheval est accompagné d’un guide soit tout probable le propriétaire du cheval ou du moins un jeune qui est payé pour faire ce travail, donc je me sens rassuré que le cheval restera cette fois-ci dans le bon sentier en gardant une vitesse de marche normal. Alors on part tout le groupe ensemble et Pierre est juste derrière moi mais quelques temps après je vois que mon cheval va beaucoup plus vite que les autres et je vois en me retournant que Pierre s’éloigne de plus en plus de moi. Je lui crie « Pierre, dépêche toi de me rattraper » et lui de crier « stresse pas tu peux pas aller bien loin » AH NON zut de zut qu’est-ce qui va m’arriver encore??? En fait il est arrivé quelque chose à tous les deux… Pierre a tombé en bas de son cheval, ce qui l’a considérablement ralenti tandis que mon guide s’est frayé un chemin en avant de tous les autres pour m’amener à l’écart en me demandant outrageusement de « ME MONTER » pour que je comprenne probablement mieux la phrase suivante « ME MONTER EST SYNONYME DE PLAISIR » Olé! le pauvre… je lui ai fait clairement comprendre que de « me monter » risquerait de se voir carrément « FAIRE COUPER LA TÊTE » j’ai mis clairement le geste à la parole car évidemment il était espagnol et ne comprenait rien à mon jargon… il a compris que je ne plaisantais pas et moi je me préparais à crier et à lui lancer un méchant coup de pied dans le visage s’il s’aventurait à vouloir me faire descendre du cheval… il a alors rebrousser chemin pour rejoindre le groupe et c’est seulement à ce moment que j’ai appris la chute de Pierre, mon pauvre homme qui avec une belle coupure et moi un « j’en ai ras le bol des étalons » sommes retournés à l’hôtel. Olé je pense que sérieusement les chevaux et moi sommes incompatibles… 😉

et bien voilà nous sommes rendus le soir, la vie est belle j’ai passé une journée bien remplie, je mérite donc d’aller me reposer dans le pays des jolies rêves…

bonne nuit tout le monde

Miel-led